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Les autorités américaines et Apple s’étaient livrées un âpre combat juridique en février et mars autour de l’iPhone de Farook, relançant par la même occasion un débat national sur le cryptage des communications et la protection de la vie privée.
Les policiers exigeaient de pouvoir accéder au contenu de l’iPhone 5c de l’assaillant de San Bernardino, pour déterminer ses liens éventuels avec le groupe Etat islamique.
Apple assurait de son côté qu’une telle « porte dérobée » n’existait pas et que sa création mettrait en péril la protection des données de centaines de millions d’utilisateurs d’iPhone.
Après plusieurs semaines de bras de fer judiciaire et médiatique avec la marque à la pomme, le FBI a finalement annoncé à la fin du mois de mars avoir pu débloquer l’iPhone sans l’aide d’Apple, grâce à l’aide d’un tiers dont l’identité n’a pas été divulguée.